Indice
- Selon une enquête Casavo, 1 Italien sur 2 considère la réduction de la consommation d'énergie comme le principal avantage de la construction écologique. 1 sur 4 indique le moindre impact environnemental
- Parmi les obstacles, les coûts initiaux excessivement élevés (56%) et les retards bureaucratiques (33%)
- Pour faciliter le processus d'achat et de vente, Casavo a développé une nouvelle version de son modèle d'évaluation qui intègre la variable de classe énergétique
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Milan, le 2 octobre 2024 – La directive européenne sur les maisons vertes vise à améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments résidentiels (qui devront atteindre la classe E d'ici 2030 et la classe D d'ici 2033), invitant les pays membres à rénover les propriétés pour réduire les émissions de CO2. La directive vise à lutter contre le le changement climatique et à réduire la consommation d'énergie. Français En outre, elle prévoit l'introduction de pratiques de construction écologiques grâce à l'utilisation de technologies et de matériaux respectueux de l'environnement.
Casavo, une entreprise qui propose des solutions intelligentes pour l'achat et la vente de maisons, a voulu enquêter sur ce que les Italiens pensent de l'introduction de la récente politique verte, en particulier à la lumière d'un parc résidentiel actuellement assez ancien, dont 51 % se situent dans les classes énergétiques F et G.
Maisons vertes : pour les Italiens, se concentrer sur les coûts
Selon les résultats de l'étude commandée par SWG, les Italiens semblent avoir une double attente concernant la nouvelle directive : tout en reconnaissant une opportunité de rénovation du parc résidentiel (64 % des Italiens le pensent), ils craignent des augmentations de prix sur les interventions et une dévaluation des classes inférieures. En effet, 73 % pensent qu'il sera plus coûteux de rénover un logement (un chiffre en hausse de 7 % par rapport à 2023). De plus, 68 % pensent que les logements dont la classe énergétique est comprise entre E et G subiront une perte de valeur significative.
Pour faciliter le processus d'achat et de vente et répondre aux besoins du marché, Casavo a développé une nouvelle version de son modèle d'évaluation, qui commence aujourd'hui par la variable de classe énergétique. À partir des données de la plateforme, Casavo constate que, alors que par le passé, le champ de la classe énergétique était rarement renseigné, au cours de la dernière année, 34 % des vendeurs ont évalué un bien de classe A, B, C ou D (et 1 sur 3 n'a toujours pas renseigné ce champ). Une tendance qui démontre la sensibilisation croissante des utilisateurs aux questions écologiques.
Construction verte : 1 Italien sur 2 pense à réduire sa consommation
La réponse aux besoins environnementaux et énergétiques passe également par la construction verte, qui implique, entre autres, l'utilisation de matériaux durables et la réduction de l'utilisation de matériaux polluants ou nocifs pour la santé. 1 Italien sur 2 considère la réduction de la consommation d'énergie comme le principal avantage de cette pratique, tandis que près d'1 sur 4 (23 %) indique le moindre impact environnemental, un aspect privilégié par la génération Z (32 %) et les Millennials (37 %).
Parmi les principaux obstacles à l'adoption de ce type de bâtiment durable, 56 % des répondants indiquent des coûts initiaux excessifs. En deuxième position se trouvent les difficultés et les lenteurs bureaucratiques (33 %) et le manque d'incitations gouvernementales (26 %).
La directive « maisons vertes » représente un défi de taille, mais offre également une formidable opportunité de moderniser notre parc immobilier. « Ce sont des projets qui non seulement réduisent la pollution, mais garantissent également des économies à long terme et améliorent le confort de vie », commente Victor Ranieri, directeur des recettes de Casavo. « Cependant, les données montrent que les inquiétudes ne manquent pas, en particulier parmi les segments les plus matures de la population. Au contraire, les jeunes restent les plus sensibles aux questions environnementales. Une autre préoccupation est liée à la dévaluation du parc immobilier existant. » À ce jour, cet aspect n'a pas encore eu d'impact tangible sur les prix, mais il se traduit par une augmentation des recherches orientées vers des biens neufs, rénovés ou à haute performance énergétique, afin de sécuriser un futur investissement. »
« Grâce à nos données, nous constatons déjà un intérêt accru des acheteurs pour les biens rénovés répondant aux critères d'efficacité énergétique. C'est pourquoi nous avons travaillé sur la nouvelle intégration de notre modèle d'évaluation. Chez Casavo, nous nous engageons à être toujours plus proches des demandes et des besoins du marché et des utilisateurs eux-mêmes », conclut Ranieri.